L’autocompassion : une clé pour gérer le stress
L’autocompassion, c’est se traiter avec la même bienveillance qu’on offrirait à un proche face à la souffrance ou aux échecs.
En tant que coach en saines habitudes de vie situé à Montréal, j’autonomise la santé innée de mes clients naturellement en les aidant à adopter de saines habitudes de sommeil, de gestion du stress, de nutrition et d’activité physique, soit les 4 piliers de la santé.
Qu’est-ce que l’autocompassion ?
Elle repose essentiellement sur ces trois étapes clés.
Vivre et identifier sa souffrance: reconnaître ses émotions difficiles, comme la tristesse ou la frustration, permet de les accepter sans jugement. Cela réduit leur emprise sur le mental.
Reconnaître l’expérience humaine commune : comprendre que la souffrance est universelle aide à se sentir moins isolé. Cette perspective apaise le stress émotionnel.
Prendre des actions bienveillantes : s’accorder de la douceur, comme une pause ou un mot gentil, calme le système nerveux. Cela favorise un équilibre intérieur.
Selon les recherches, l’autocompassion réduit les niveaux de cortisol, l’hormone du stress, diminuant ainsi l’anxiété et les risques de dépression ou de maladies cardiovasculaires. Alors, lorsque ton rythme de vie amplifie le stress, cette pratique est une stratégie puissante pour retrouver l'équilibre.
Solutions pour pratiquer l’autocompassion
Voici quatre étapes de gestion du stress basées sur l’autocompassion :
Face à un inconfort, arrêtez-vous pour dans un endroit calme pour respirer et éviter l’escalade du stress
Dites « C’est un moment de souffrance » pour nommer ce que vous ressentez.
Répétez « La souffrance fait partie de la vie » pour relativiser vos défis.
Finissez par « Je vais demeurer bienveillant envers moi-même ».
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